...” De moi à l’étoile un pas me sépare :
Eclays de la même lumière que dispersera
Dans l’accidsentelle explosion de la naissance,
La gloire solaire de la pensée”
...
“ Le quel de nous je trompe quand frère
Dans ces vers je t’appelle ?
Ce ne sont des sours les feuilles qui du sol
Regardent les autres sur la branche.
Mieux vaut accepter la solitude,
Vivbre en colère comme le chien
Qui ronge sa muselière. “
...
“ Que peux-tu me dire de plus que je ne sache,
Veine du soleil saignant sur la terre,
Douce éraflure de brouillard réfracté
Entre le bleu de la mer et le ciel rouge ?
Il y a déjà tant de couchants dans ma mémoire,
Tant de doigts de feu sur les eaux,
Que tous se confondent quand, la nuit,
Le soleil couché, se ferment les yeux.”
Traduits du portugais par Nicole Siganos.
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