Oh, negrada destorcida !
Que não quer não, outra vida
melhor que esta de chalaça;
Pra você negrada boa,
Que chamam de gente à toa
Alinhavei tudo isso.
Do livro : "Negro preto cor da noite", 1932
Oh, nègre perdu !
Qui ne veut d'autre vie,
Meilleure que cette farce;
Entre le tabac et le gnôle;
Pour toi, bon Nègre,
Qu'on appelle bon à rien,
J'ai écrit tout cela.
Source:
Livre "La poésie nègre dans le modernisme brésilien".
Par Benedita Gouveia Damasceno, Luciana Stegagno Picchio
Traduit par Clarissa Aldana, Raphaël Hercelin
La poésie nègre dans le modernisme brésilien
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire